Parlons de cette vie qu'on nous livre
De ce globe parmi tant d'astres
De cette rotation qui nous entraîne
De cette gravitation qui nous retient
Parlons du jour si brièvement nôtre
De chemins flétris
Des cris perpétués
Des visages en tous lieux
Et en toutes saisons
Parlons de tant de soufre
De tant de souffles
De tant d'envol
De trop d'enfoncements.
A. Chedid
Parlons du jour, si brièvement nôtre......
RépondreSupprimerLe vers le plus frappant de ce poème...
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